LAURIANE PACHOT

Quotidien Figuratif nous fait entrer dans un lieu où chaque coin est un tableau vivant. On y retrouve la douceur d'un refuge onirique mêlée à l'énergie brute d’un art urbain, créant un espace de réconfort où se questionne le « socialement acceptable ».

Nous voila chez nos grands parents pour un repas famille ce cadre accueillant est également plein d’angoisses. Ces angoisses sont camouflées, traduites par un flou de couleur. Le banal du quotidien est rendu étrange, joyeux, ludique et attirant. De la vaisselle bariolée se retrouve sur des napperons brodés de petits monstres rassurants.

Cette scène emprunte de quiétude camoufle les peurs réelles, comme dans un rêve duquel on ne veut pas sortir. Le rêve qui est bien plus agréable que lxa réalité jusqu’à ce que celle ci s’introduise et rende ce paysage onirique inhospitalier. Heureusement que ces petits monstres sont là.